Concierto en la Abadía de Sainte Foi. Conques 21/11/15 |
Fray Jean Daniel, el hermano organista de Conques, invita a los músicos presentes a la fiesta de Santa Cecilia, matrona de los músicos, celebrada en la Abadía románica de Conques. Por mi parte, interpreto tres temas: Txoria txori de Mikel Laboa, la canción de Simón Vela a la Virgen de la Peña de Francia y Новая Жизнь (Novaya Zhin) del grupo ruso ДДТ (DDT)
La perfusion en lambeaux, je recommence à vivre.
L'eau s'est envolée comme de la neige, je mâche de la viande de coton blanc,
Je vis à pas de course vers les choses lupines, le ciel est rouge, il fera clair.
Une nouvelle vie s'est dispersée comme un ruisseau printanier,
Une nouvelle vie s'est déversée dans les kiosques, dans les gares.
Une nouvelle vie, nous resterons assis, muets sur tout,
Une nouvelle vie ne vient jamais gratuitement.
Une étoile a été livrée avec une averse, elle a légèrement déchiré la robe sur l'aulne,
Ayant écorché de sa défense la taïga, elle la déchirera avec une légion de moineaux.
Je me couvre d'un mot oublié sur le banc avec grand-père-maison,
Je transpire au bain, pour devenir une trace fraîche et neuve pour le chasseur.
Une nouvelle vie s'est dispersée comme un ruisseau printanier,
Une nouvelle vie s'est déversée dans les kiosques, sur les marchés.
Une nouvelle vie, nous resterons assis, muets sur tout,
Une nouvelle vie, que les branches de bouleau soient humides et la vapeur légère.*
Ce serait bien s'il me tirait par la main de l'eau froide,
Je lui dis : "Qu'est-ce que t'attends, cousin?", mais il sort un canon noir.
Un corbeau a poussé le cri d'un serment blanc, malveillant et inconscient.
Oh, mon corps assassiné - ce sont toutes mes tâches de naissances.
Une nouvelle vie s'est dispersée comme un ruisseau printanier,
Une nouvelle vie s'est déversée dans les kiosques, dans les gares.
Une nouvelle vie, nous resterons assis, muets sur tout,
Une nouvelle vie ne vient jamais gratuitement.
Новая Жизнь (Novaya Zhin) Vida Nueva
Je suis sorti du coma cette nuit, là où il y a le
Temple-sur-le-Sang, sans abriLa perfusion en lambeaux, je recommence à vivre.
L'eau s'est envolée comme de la neige, je mâche de la viande de coton blanc,
Je vis à pas de course vers les choses lupines, le ciel est rouge, il fera clair.
Une nouvelle vie s'est dispersée comme un ruisseau printanier,
Une nouvelle vie s'est déversée dans les kiosques, dans les gares.
Une nouvelle vie, nous resterons assis, muets sur tout,
Une nouvelle vie ne vient jamais gratuitement.
Une étoile a été livrée avec une averse, elle a légèrement déchiré la robe sur l'aulne,
Ayant écorché de sa défense la taïga, elle la déchirera avec une légion de moineaux.
Je me couvre d'un mot oublié sur le banc avec grand-père-maison,
Je transpire au bain, pour devenir une trace fraîche et neuve pour le chasseur.
Une nouvelle vie s'est dispersée comme un ruisseau printanier,
Une nouvelle vie s'est déversée dans les kiosques, sur les marchés.
Une nouvelle vie, nous resterons assis, muets sur tout,
Une nouvelle vie, que les branches de bouleau soient humides et la vapeur légère.*
Ce serait bien s'il me tirait par la main de l'eau froide,
Je lui dis : "Qu'est-ce que t'attends, cousin?", mais il sort un canon noir.
Un corbeau a poussé le cri d'un serment blanc, malveillant et inconscient.
Oh, mon corps assassiné - ce sont toutes mes tâches de naissances.
Une nouvelle vie s'est dispersée comme un ruisseau printanier,
Une nouvelle vie s'est déversée dans les kiosques, dans les gares.
Une nouvelle vie, nous resterons assis, muets sur tout,
Une nouvelle vie ne vient jamais gratuitement.
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